Le Festival international de la bande dessinée (FIBD) de 2023 a été le théâtre d’une vive polémique concernant l’exposition de Bastien Vivès, un auteur de bande dessinée français. En effet, l’exposition de Vivès a été annulée suite à de nombreuses protestations et accusations de harcèlement et de violences sexuelles.
Cette annulation a suscité de nombreuses réactions de la part des différents acteurs du monde de la bande dessinée. Certains ont salué la décision de l’organisation du FIBD comme une prise de position importante pour lutter contre le harcèlement et les violences sexuelles dans le milieu de la bande dessinée. D’autres ont critiqué cette annulation comme étant une atteinte à la liberté d’expression et ont appelé à la présomption d’innocence.
Le débat autour de cette annulation a également suscité des discussions sur la place des femmes dans le monde de la bande dessinée et sur la nécessité de mettre en place des mesures pour protéger les victimes de harcèlement et de violences sexuelles. Plusieurs auteures de bande dessinée ont témoigné de leur expérience de harcèlement et ont souligné la nécessité de créer un climat de respect et de sécurité dans le milieu.
En conclusion, l’annulation de l’exposition de Bastien Vivès au FIBD de 2023 a suscité une vive polémique et a mis en lumière les problèmes de harcèlement et de violences sexuelles dans le milieu de la bande dessinée. La décision de l’organisation du FIBD a été saluée par certains comme une prise de position importante pour lutter contre ces problèmes, tandis que d’autres ont critiqué cette annulation comme étant une atteinte à la liberté d’expression. Cette affaire a également mis en lumière la nécessité de mettre en place des mesures pour protéger les victimes de harcèlement et de violences sexuelles dans le milieu de la bande dessinée.